Archives des articles tagués Didier Faustino

Didier Faustino présentait « Broken white cube » pour la première édition de Now ! Le Off à la Cité de la Mode et du Design. Une pièce nomade dont les dimensions sont calquées sur celle de la palette de transport nécessaire à son déplacement.

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Du 21 octobre au 4 décembre 2011, Didier Faustino propose « Le meilleur des mondes », une installation conçue pour la Cité de l’architecture & du patrimoine dans le cadre des « salons de l’Ifa ». En quête de cet espace idéal où les échanges et les confrontations prennent vie, Le meilleur des mondes dispose les corps et leurs fantômes pour leur donner la parole. Dans les collections du musée, l’histoire semble envelopper le spectateur. Alors que la projection d’une autre architecture semble compromise, Le meilleur des mondes s’installe en salon idéal. Un rassemblement des corps où les individus discutent le « corps plaisir » et le « corps délit ». Lire la suite »

Dans le cadre du parcours « Conversations » des Designer’s Days, Didier Faustino installe « Interzone » dans les vitrines du Lafayette Maison avec Doppelgänger, une pièce produite pour l’occasion*. Un masque blanc se dédouble. Ses parties siamoises fusionnent recréant une sorte de prothèse pour un baiser miroir. Le masque à double entrée oriente les têtes de ceux qui s’y insèrent, définissant la limite minimum, une frontière intangible devenue réelle. Lire la suite »

« Faire de l’architecture avec du sang, du poil, de la sueur et du sperme ». C’est par cette déclaration, si ce n’est provocante, en tout cas inhabituelle, que Didier Faustino signait son entrée dans le milieu professionnel de l’architecture. Et pour son diplôme ; point de maquette, ni même de projet de bâtiment mais un bodybuilder en train de soulever de la fonte, histoire de bien faire comprendre au jury la puissance de l’enveloppe charnelle humaine en tant que facteur déterminant de notre environnement. Cette même image fera ensuite la une d’Art Press (1999) et entérinera son « adoption » par la sphère de l’art contemporain. La porte du mélange des genres était alors ouverte sans pour autant que Faustino ne se dépare de son rôle d’architecte.

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Didier Faustino présente une série de nouvelles pièces à la Fondation Calouste Gulbekian (Lisbonne) du 14 janvier au 3 avril 2011. Cinq nouvelles installations produites pour l’exposition plongeront les visiteurs dans la confrontation permanente du corps avec l’architecture et de l’architecture avec le mouvement, via les outils visuels et sonores mis en place par Faustino. Intitulée « Don’t trust architects », l’exposition présentera « Future Will Be a Remake« , un jeu qui invite les spectateurs à se réapproprier une part de l’architecture en jouant avec elle, « Trust me« , une installation sonore sur la distorsion des messages, « Flatland« , une réflexion sur les frontières entre fiction et réalité, « Instrument for blank architecture« , appareil sonore mobile dédié à l’exploration mentale, et enfin « Exploring Dead Buildings« , une vidéo explorant les confins de l’utopie architecturale.

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Les nouveaux visuels du tabouret ambigu « Hermaphrodite » par Didier Faustino à la galerie Michel Rhein sont disponibles. Partant d’un motif de sellerie traditionnelle, Didier Faustino a pensé Hermaphrodite, une assise façonnée à la main à partir d’une tôle d’aluminium. Pour Didier Faustino il s’agit d’observer les qualités d’un objet simple et d’en configurer les paradoxes.

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Partant d’un motif de sellerie traditionnelle, Didier Faustino a pensé Hermaphrodite, une assise façonnée à la main à partir d’une tôle d’aluminium. Pour Didier Faustino il s’agit d’observer les qualités d’un objet simple et d’en configurer les paradoxes. La selle impose dans son utilisation une posture anti-naturelle. Avec Hermaphrodite, Didier Faustino a joué avec l’incongruité d’une forme a priori plus contemplative qu’accueillante que l’on découvre pourtant très confortable.

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Du 26 août au 23 novembre 2010, Didier Faustino présentera « Agnosian Fields » au Forum de la Maison Hermès à Tokyo.  L’exposition composée de deux installations inédites et de travaux antérieurs, donne des indices sur les différentes échelles et obsessions qui fondent le travail de l’architecte. Le terme agnosie – trouble de la reconnaissance des objets et amnésie perceptive – résume à lui seul l’état dans lequel l’architecte souhaite plonger le visiteur. Son travail, essentiellement tourné vers la mise en tension du corps dans son environnement, l’amène à explorer les champs de l’architecture et de l’art contemporain, assumant autant le statut de créateur que celui d’architecte.

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