Archives de la catégorie Art contemporain

Qu’est-ce que le « bon design » ? Ce qu’on désigne par « bon » est ce qui correspond à un ensemble de critères préexistants du « bon ». Le Good Design, c’est celui qui obéit à un certain nombre de règles : il doit être fonctionnel (correspondre à une fonction assignée), beau, et correspondre aux critères de l’efficacité industrielle (rationalisation de la production, meilleur coût). Il vient remplir une case qu’il n’invente pas. On retrouve dans les caractéristiques de ces objets les critères que l’on attendait, sans savoir encore tout-à-fait quelle forme ils prendraient. Dans cette conception, l’inconnu n’est jamais qu’un connu pas encore reconnu, et la rencontre est une retrouvaille. Une chose vient prendre la place d’une autre, en attendant la prochaine nouveauté. Le bon design, comme les bonnes œuvres d’art, n’échappent pas à la logique de l’obsolescence planifiée, remplaçant le temps d’une saison le « bon » qui l’a précédé.

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Exemplaire d’une ligne éditoriale qui assume sa personnalité et sa particularité, My Design propose une rencontre entre art et design , entre peinture et objet, entre plasticité pure et fonctionnalité plastique jusqu’au 30 octobre à l’occasion de la première Paris Design Week.  Les peintures de Gérard le Cloarec, les photos de Vic s’organisent ainsi dans le magnifique showroom du quai de la Gare autour des pièces des nouvelles collections de MDF Italia et Glas Italia. Une rencontre autour de la couleur, de l’objet et de la forme en devenir. Pour Jean Luc Chamumeau  » Tout tableau de Gérard Le Cloarec montre un monde en train de se faire tout en défaisant le réel, un monde à l’état naissant : non pas représenté (copié) mais ramené à son origine. »   Lire la suite »

Didier Faustino présentait « Broken white cube » pour la première édition de Now ! Le Off à la Cité de la Mode et du Design. Une pièce nomade dont les dimensions sont calquées sur celle de la palette de transport nécessaire à son déplacement.

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Du 21 octobre au 4 décembre 2011, Didier Faustino propose « Le meilleur des mondes », une installation conçue pour la Cité de l’architecture & du patrimoine dans le cadre des « salons de l’Ifa ». En quête de cet espace idéal où les échanges et les confrontations prennent vie, Le meilleur des mondes dispose les corps et leurs fantômes pour leur donner la parole. Dans les collections du musée, l’histoire semble envelopper le spectateur. Alors que la projection d’une autre architecture semble compromise, Le meilleur des mondes s’installe en salon idéal. Un rassemblement des corps où les individus discutent le « corps plaisir » et le « corps délit ». Lire la suite »

Invitée par le blog féminin Cocotte* à exposer son travail pour Designer’s days, la laqueuse May Pham van Suu a choisi de présenter le travail haut de gamme qu’elle réalise avec le jeune éditeur français L.A.Q. (Luxe Architecture Qualité). Partenaire privilégiée de cette enseigne haute facture, May Pham van Suu réalise un travail sensible et précieux au service des créateurs avec une maîtrise rare des techniques du laquage, de l’incrustation de nacre et de la coquille d’oeuf. Elle présente trois pièces à l’espace 13 Sévigné à découvrir vendredi 17 juin pour le vernissage en attendant septembre avec une nouvelle installation LAQ chez David Hichs à l’occasion de la première Design Week parisienne.

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La Galerie BSL fête son premier anniversaire de la meilleure manière possible avec son premier solo show à Bâle du 14 au 18 juin 2011 confié à Nacho Carbonell. Une poursuite de la collection Luciferase initiée à la galerie au mois de janvier avec de toutes nouvelles pièces du designer espagnol, coqueluche à juste titre de ce marché du design de série limitée qu’il a secoué de son vocabulaire hors normes. Une première consécration donc pour la galerie BSL qui voit ses choix la propulser dans la mecque du marché de l’art après à peine un an d’existence !

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Dans le cadre du parcours « Conversations » des Designer’s Days, Didier Faustino installe « Interzone » dans les vitrines du Lafayette Maison avec Doppelgänger, une pièce produite pour l’occasion*. Un masque blanc se dédouble. Ses parties siamoises fusionnent recréant une sorte de prothèse pour un baiser miroir. Le masque à double entrée oriente les têtes de ceux qui s’y insèrent, définissant la limite minimum, une frontière intangible devenue réelle. Lire la suite »

 

Invité par la galerie Diito et  Marie Pok, directrice aristique de Design September Bruxelles, au titre  » d’agence de relation presse hors normes, entre commissariat, média et RP « , Duende est heureux d’annoncer sa participation à la prochaine design week bruxelloise dans le magnifique showroom Diito pour présenter ses clients et sa démarche. Nous sommes ravis de dévoiler pour l’occasion notre nouvelle identité graphique confiée au studio suisse Supero avec très vite un nouveau site et cassius cool PR, une nouvelle déclinaison de duende PR pour petits budgets à l’intention des jeunes architectes et designers. On y revient très vite !

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« Faire de l’architecture avec du sang, du poil, de la sueur et du sperme ». C’est par cette déclaration, si ce n’est provocante, en tout cas inhabituelle, que Didier Faustino signait son entrée dans le milieu professionnel de l’architecture. Et pour son diplôme ; point de maquette, ni même de projet de bâtiment mais un bodybuilder en train de soulever de la fonte, histoire de bien faire comprendre au jury la puissance de l’enveloppe charnelle humaine en tant que facteur déterminant de notre environnement. Cette même image fera ensuite la une d’Art Press (1999) et entérinera son « adoption » par la sphère de l’art contemporain. La porte du mélange des genres était alors ouverte sans pour autant que Faustino ne se dépare de son rôle d’architecte.

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Du 27 mai au 12 juin Nicy Town investit le 116 Chaussée de Charleroi pour créer un lieu de vie éphémère de plus de 4000 m2 mêlant expositions et ventes design, art contemporain et mode dans un projet architectural de J.M. Jaspers.  NICY Town est une ville imaginaire où l’esthétique n’est jamais censurée, à l’image de la ville composée de bâtiments, de rues, d’espaces verts, d’eau, de sons, de lumières, d’individus… Le programme événementiel inédit mettra en avant les différents partenaires, exposants, créateurs de renom et jeunes artistes, grâce à l’organisation de rencontres, de conférences, d’animations, d’expositions, de défilés de mode.  Lire la suite »


Puisque « l’information est partout« , que se passerait-t-il si les meubles devenaient eux-mêmes information ? Robert Stadler présente l’installation « informed » jusqu’au 30 mai à la Galerie Nilufar à Milan dans le cadre d’une exposition collective intitulée « Atomi », regroupant Martino Gamper, Studio Makkink&Bey, Marco Ferreri et autres, ainsi que l’installation « Diagrammi » d’Andrea Branzi. « informed » est composée de quatre pièces (miroir, tapis, étagères et tabouret), matérialisant chacune l’information qu’elles contiennent : « Form follows information » représente pour Robert Stadler, l’un des centres de sa recherche sur l’objet. Les pièces seront mises en scène devant un fond bleu, couleur prédominante d’Internet. Lire la suite »

Après avoir initié en 2010 une première collection composée de trois tables, réalisées selon les techniques traditionnelles de laquage, LAQ dévoile cette année plusieurs nouvelles pièces exceptionnelles. Réalisées à 2, 4 ou 6 mains, elles viennent enrichir l’imaginaire de LAQ en racontant de nouvelles histoires développées dans le cadre de rencontres exceptionnelles. Après deux années de préparation méticuleuse, LAQ redéfinit aujourd’hui avec cette collection les limites de la haute facture dans l’univers des intérieurs. Ni totalement art, ni complètement design, elle propose des pièces qui formeront peut-être les collections du futur. Lire la suite »

Alors que l’exposition « L’étreinte » par Elise Gabriel est à visiter en off du Pavillon des Arts et du design, la Galerie Gosserez propose deux nouveautés des designers Valentin Loellmann et Adam Goodrum. Une série de table, banc et tabouret organique clin d’oeil à Maarten Baas pour le premier, une console colorée tout en trompe l’oeil pour le second. Résumé parfait de l’état d’esprit ouvert de la jeune galeriste parisienne qui propose depuis juin une très jolie sélection de projets par de jeunes et talentueux designers souvent inconnus en France.

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Puisque « l’information est partout« , que se passerait-t-il si les meubles devenaient eux-mêmes information ? Robert Stadler présente l’installation « informed » à partir du 11 avril à la Galerie Nilufar à Milan dans le cadre d’une exposition collective intitulée « Atomi », regroupant Martino Gamper, Studio Makkink&Bey, Marco Ferreri et autres, ainsi que l’installation « Diagrammi » d’Andrea Branzi. « informed » est composée de quatre pièces (miroir, tapis, étagères et tabouret), matérialisant chacune l’information qu’elles contiennent : « Form follows information » représente pour Robert Stadler, l’un des centres de sa recherche sur l’objet. Les pièces seront mises en scène devant un fond bleu, couleur prédominante d’Internet.

 

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La galerie BSL présente « Hosting Parasites » de Kathy Ludwig, une collection de bijoux performatifs inscrite aux frontières de l’art pour laquelle elle a été diplômée avec félicitations de la Design Academy d’Eindhoven. « Intrigants, attirants, pourquoi pas repoussants, les objets que je crée suscitent des sentiments contradictoires et provoquent un questionnement. Leur interaction avec le corps rend tangibles certaines valeurs ou comportements. L’ensemble forme une sculpture vivante. » Kathy Ludwig

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Hybridations, accouplements de formes, zoo– et géomorphismes : depuis quatre ans, au fil du parcours fulgurant qui a suivi son diplôme de la Design Academy d’Eindhoven, Nacho Carbonell n’a cessé de développer une œuvre expérimentale aux implications fortement narratives, s’affranchissant des conventions pour repousser toujours plus loin les frontières établies – celles qui distinguent le design et l’art contemporain, la fonction d’usage et la sculpture, la retenue et l’exubérance, la beauté et la laideur, la violence et la douceur.

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Didier Faustino présente une série de nouvelles pièces à la Fondation Calouste Gulbekian (Lisbonne) du 14 janvier au 3 avril 2011. Cinq nouvelles installations produites pour l’exposition plongeront les visiteurs dans la confrontation permanente du corps avec l’architecture et de l’architecture avec le mouvement, via les outils visuels et sonores mis en place par Faustino. Intitulée « Don’t trust architects », l’exposition présentera « Future Will Be a Remake« , un jeu qui invite les spectateurs à se réapproprier une part de l’architecture en jouant avec elle, « Trust me« , une installation sonore sur la distorsion des messages, « Flatland« , une réflexion sur les frontières entre fiction et réalité, « Instrument for blank architecture« , appareil sonore mobile dédié à l’exploration mentale, et enfin « Exploring Dead Buildings« , une vidéo explorant les confins de l’utopie architecturale.

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Les nouveaux visuels du tabouret ambigu « Hermaphrodite » par Didier Faustino à la galerie Michel Rhein sont disponibles. Partant d’un motif de sellerie traditionnelle, Didier Faustino a pensé Hermaphrodite, une assise façonnée à la main à partir d’une tôle d’aluminium. Pour Didier Faustino il s’agit d’observer les qualités d’un objet simple et d’en configurer les paradoxes.

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Partant d’un motif de sellerie traditionnelle, Didier Faustino a pensé Hermaphrodite, une assise façonnée à la main à partir d’une tôle d’aluminium. Pour Didier Faustino il s’agit d’observer les qualités d’un objet simple et d’en configurer les paradoxes. La selle impose dans son utilisation une posture anti-naturelle. Avec Hermaphrodite, Didier Faustino a joué avec l’incongruité d’une forme a priori plus contemplative qu’accueillante que l’on découvre pourtant très confortable.

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L’espace dédié aux adolescents conçu par Mathieu Lehanneur pour le Centre Pompidou ouvre ses portes à partir du 11 septembre 2010. Intitulé « Studio 13/16 », cette proposition, forcément risquée pour un musée lorsqu’il s’adresse à une population par essence aussi volatile que les ados, trouve une réponse fonctionnelle et formelle basée sur l’ergonomie du désir « Je rêvais d’un lieu qui soit pensé et construit comme un studio de télévision, de cinéma ou de musique. Je voulais que cet espace pour les ados offre le même potentiel d’action et de création que ce type de lieux professionnels. Loin d’une tentative de reconstituer un hypothétique style « ado », je n’ai gardé de l’adolescence que ce désir – et parfois cette capacité – de distordre les choses et les lieux. J’admire cette manière unique d’assouplir le monde pour mieux s’y intégrer. Et ce qui est vrai pour une ville ou un vêtement, l’est plus encore pour une institution comme le Musée… » résume Mathieu Lehanneur.

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